Trump sur le fil : attaque imminente des Etats Unis contre l’Iran
Trump sur le fil : attaque imminente des Etats Unis contre l’Iran
Donald Trump continue de se demander s’il doit ou non attaquer l’Iran pour arrêter ses plans nucléaires. Alors qu’une décision est prise, les États-Unis mobilisent déjà des bombardiers capables de détruire les bunkers où les Iraniens ont leurs réserves d’uranium.
Plus précisément, jusqu’à six bombardiers B2 américains ont été détectés quittant la base aérienne de Whiteman dans le Missouri. Ces avions sont capables de larguer la plus grande bombe anti-bunker du monde dans le but d’atteindre les installations souterraines d’enrichissement d’uranium de l’Iran.
On s’attend, comme le rapporte le New York Times, à ce que ces bombardiers arrivent d’abord sur l’île de Guam et, de là, partent pour la base de Diego García, située dans l’océan Indien, d’où l’on suppose que les États-Unis pourraient enfin attaquer.
Trump n’a pas encore fini d’exclure ou de confirmer l’attaque contre l’Iran. Mais pendant ce temps, l’armée américaine continue de se préparer au déploiement, envoyant non seulement des avions de chasse, mais aussi des pétroliers, des porte-avions et des porte-avions vers ses bases militaires dans la région.
Cependant, cette décision a été accueillie par une nette division parmi les républicains. Il y a ceux qui prônent l’attaque et il y a ceux qui font le contraire. L’un de ceux qui parient sur l’inaction est l’ancien conseiller du président, Steve Bannon, qui pourrait jouer un rôle clé dans la dissuasion de Trump : « Qui est Netanyahu pour nous mettre dans un travail qu’il savait qu’il ne pourrait pas terminer tout seul ? »
Le républicain s’est donné deux semaines pour prendre une décision, bien qu’il s’agisse toujours de la même marge de temps pour tout dilemme et qu’il ne s’y conforme pas souvent. Ce qu’il semble, c’est que la seule chose qu’il pourrait attendre maintenant est d’avoir terminé l’ensemble du déploiement.
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Pendant ce temps, l’Iran a menacé d’attaquer les bases américaines dans la région, où il compte des dizaines de milliers de soldats, s’il finit par prendre part au conflit. « Toutes ses bases sont à notre portée », a déclaré le ministre iranien de la Défense, Aziz Nasirzadeh.
Une tension qui pourrait mettre fin à la participation directe des États-Unis à la guerre et à une énorme escalade du conflit.
