Le Sénat togolais a ouvert, jeudi 2 octobre 2025, sa deuxième session ordinaire de l’année, centrée sur l’examen du projet de loi de finances pour l’exercice 2026. Cette étape marque l’un des moments clés de la vie parlementaire, où les orientations économiques du pays se traduisent en chiffres et en priorités.
Dans son allocution inaugurale, le président de l’institution, Barry Moussa Barqué, a tenu à replacer l’enjeu dans une perspective plus large. Selon lui, « le budget n’est pas un simple exercice comptable », mais « l’expression des priorités nationales et de notre responsabilité envers les générations futures ».
Le projet de loi soumis au Sénat devra répondre à trois objectifs majeurs : consolider les acquis du développement, accroître la compétitivité de l’économie face aux crises extérieures, et accélérer la transformation structurelle dans des secteurs stratégiques tels que la santé, l’éducation et l’agriculture.
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Le président du Sénat a invité les parlementaires à mener des discussions constructives, guidées par la sagesse et le sens de la responsabilité. L’ambition affichée est claire : aboutir à un budget qui reflète les réalités du pays tout en traçant la voie d’une croissance plus inclusive et durable.
En s’attaquant au chantier budgétaire de 2026, le Sénat engage ainsi un débat crucial pour l’avenir du Togo, entre impératifs économiques immédiats et vision à long terme.
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