
Au Togo, malgré les rappels répétés de la Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), le refus des billets et pièces usés ou limés continue de se répandre, tant chez les commerçants que dans certaines institutions financières. Pourtant, la loi est claire : ces monnaies, même détériorées, doivent être acceptées.
Le Journal économique ECO & FINANCE évoque le sujet à la page 2 de sa parution N° 1139 du lundi 17 mars 2025. Le journal ressort l’article 1165 du Code pénal togolais, qui stipule que refuser un billet ou une pièce ayant cours légal expose à une amende de 10 000 à 50 000 FCFA
Le Mouvement Martin Luther King (MMLK) dénonce cette pratique illégale qui perturbe les échanges économiques et rappelle que l’état d’un billet ne change pas sa valeur. L’organisation appelle les citoyens à respecter la loi et exhorte la BCEAO ainsi que les autorités togolaises à renforcer la sensibilisation et à faciliter le remplacement des monnaies abîmées.
Face à l’usure naturelle des pièces et billets, dans un contexte où le paiement en espèces domine, le respect de ces règles est essentiel pour garantir la fluidité des transactions.
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